- IdRef.fr_028798058
- Personne
- 1953-11-04/
Historienne des religions et coptisante française.
Historienne des religions et coptisante française.
Coptisante française.
Ancienne conservatrice en chef au Département des antiquités égyptiennes du Musée du Louvre, section copte.
Coptisant français.
Ancien bibliothécaire du Cabinet d'égyptologie du Collège de France.
Docteur en droit égyptien.
Conseiller juridique et chargé des relations publiques pour l'Institut français d'archéologie orientale.
Secrétaire général de la Société d'Archéologie Copte.
Coptisant français.
Après avoir été élève au séminaire d'Alger et suivi les cours de Lefébure à l'université d'Alger, il passe une licence ès lettres à l'université de Lyon, puis suit les cours de l'Institut catholique, de la Sorbonne et de l'École Pratique des Hautes Études.
Il arrive à l'Institut français d'archéologie orientale en 1911 où il collabore avec Charles Kuentz à Deir el-Médina, et Paul Collomp puis Henri Henne à Edfou.
En 1922 Georges Foucart le nomme secrétaire-bibliothécaire de l'Institut français d'archéologie orientale.
d’Audibert Caille du Bourguet, Pierre Marie
Égyptologue et coptisant français.
Coptisant et arabisant français.
Égyptologue et coptisant français.
Émile Amélineau suit une première formation pour faire partie des ordres du diocèse de Rennes. Au cours de ses études, il assiste aux cours donnés par Felix Robiou qui l’initie à l’égyptologie. Il décide alors d’étudier l’égyptologie et le copte à Paris, notamment sous la direction de Gaston Maspero et Eugène Grébaut, jusqu’en 1883. Après sa formation, il étudie des manuscrits coptes entreposés à l’université d’Oxford et de Leyde. De 1882 à 1887, il rejoint la mission archéologique française au Caire. En 1887, il décide de rompre ses vœux. Il achève sa carrière comme professeur à l’université jusqu’en 1903 puis chargé du cours d’histoire des religions à l’École Pratique des Hautes Etudes jusqu’à sa mort.
Entre 1894 et 1898, Émile Amélineau fouille à Abydos où il trouve la tombe royale de Narmer et la stèle de Djet. Toutefois, ses méthodes de fouilles et publications sont critiquées pour leur manque de rigueur scientifique, notamment par ses contemporains et ses anciens professeurs. De plus, il vend certaines antiquités ramenées d’Égypte à Paris en 1904. Il fait don du reste de ses découvertes à la Société dunoise d’archéologie de Châteaudun qui les expose dans le musée des Beaux-arts et d’histoire naturelle jusqu’à nos jours.