von Gaertringen, Friedrich Hiller
- IdRef.fr_030770017
- Person
- 1865-08-03/1947-10-25
Archéologue et épigraphiste allemand.
von Gaertringen, Friedrich Hiller
Archéologue et épigraphiste allemand.
de Villiers du Terrage, René Édouard
Ingénieur et archéologue français.
de Sarzec, Gustave Charles Ernest
Diplomate et archéologue français.
Archéologue et égyptologue français.
Homme d'état, diplomate et archéologue français.
Archéologue français et moine dominicain établi à Jérusalem.
Il a enseigné à l’École biblique et archéologique de Jérusalem et participé à plusieurs chantiers de fouilles en Palestine.
Thureau-Dangin, Jean Gabriel François
Archéologue et orientaliste français.
Religieux et archéologue français.
Assyriologue, archéologue et orientaliste britannique.
Historien, archéologue et épigraphiste français.
Archéologue et artiste britannique.
Perdrizet, Émile Paul Frédéric
Archéologue, helléniste et médiéviste français.
Botaniste, anthropologue et archéologue américain.
Conservateur du département égyptien du Metropolitan Museum of Art.
Archéologue, numismate et historien britannique.
Archéologue et épigraphiste américain.
Archéologue, historien, numismate et épigraphiste français.
Helléniste, épigraphiste et archéologue français.
Lecomte Du Noüy, Jacques Théodore Jules
Architecte et archéologue français.
Lauffray, Jean Louis Raymond Marie
Architecte et archéologue français.
Jean Lauffray participe à la fouille de nombreux sites levantins d’importance : Mari, Byblos, Zénobie, Sidon, etc. Son mérite conduit le gouvernement syrien à l’engager sur d’autres chantiers. Vers la fin de la guerre, il est architecte en chef du service des antiquités syrien. Il a également dirigé le musée national d’Alep.
De retour en France, il à la s’attache conservation du patrimoine architectural aquitain et entreprend des fouilles y compris au Portugal.
À la demande Christiane Desroches-Noblecourt, il intervient à Karnak en 1961 et fonde conjointement le Centre Franco-Égyptien d'Étude des Temples de Karnak avec Serge Sauneron pour pérenniser le travail sur le site. Co-directeur de 1967 à 1980, il a la charge de la fouille du musée du Louvre à Tôd. Son œuvre ne s’arrête pas à la retraite, qu’il consacre à publier.
Sa renommée en fit un expert régulièrement missionné par l’UNESCO en Orient
Architecte et archéologue française.
Archéologue et épigraphiste français.
Archéologue grec.
Il a été directeur du département des antiquités de Chypre et conservateur de son musée.
Il est notamment connu pour avoir découvert en 1934 le site néolithique de Choirokoitia.
Archéologue et helléniste français.
Historien, archéologue et philologue français.
Archéologue et orientaliste français.
Diplomate et archéologue français.
Archéologue et historien de l'art belge.
Archéologue italien.
Achille Adriani est un archéologue italien, diplômé de l’université de Rome, spécialisé dans l’archéologie alexandrine pour laquelle il est reconnu au niveau international.
Il débute sa carrière en travaillant pour l’Institut Italien d’Athènes pour un an avant d’être désigné inspecteur des antiquités à Naples. De 1932 à 1940, il occupe le poste de directeur du musée gréco-romain d'Alexandrie. Parallèlement, entre 1933 et 1939, il s’implique de plus en plus dans la gestion et la publication du bulletin de la Société d’archéologie d’Alexandrie. En 1940, il est rappelé en Italie pour défendre son pays durant la Seconde Guerre mondiale.
À la fin de la guerre, Achille Adriani est nommé inspecteur des antiquités de Rome jusqu’en 1948 avant de reprendre sa position de directeur de musée gréco-romain d'Alexandrie jusqu’en 1952. À partir de 1948, il commence à enseigner l’archéologie gréco-romaine à l’université de Palerme où il reste jusqu'en 1966, avant de poursuivre sa carrière à l'université de Naples puis de Rome jusqu'en 1975. Il dirige plusieurs chantiers de fouilles en Égypte, à Alexandrie, Antinoë et Aboukir.
Archéologue et anthropologue américain.
William Adams s’est principalement consacré à l’étude de la Nubie antique.
Il entame sa formation universitaire à l’université de Stanford, avant de s’engager dans la Marine pour un an en 1945. Il reprend ensuite ses études en anthropologie à l’université de Berkeley en Californie où il obtient sa licence avant de poursuivre avec un master à l’université d’Arizona. En 1955, il épouse l’anthropologue Nettie Alice Kessler qui l’assistera dans ses recherches. En 1957, il obtient son doctorat de l'université d'Arizona avec une thèse portant sur le rôle du commerce dans les communautés Navajos.
Il travaille ensuite pour le Museum of Northern Arizona, documentant les environs des rivières San Juan et Colorado en prévision de la construction du barrage du Glen Canyon. En 1959, il effectue des photos aériennes au Soudan pour le compte de l’UNESCO, lors de la recherche de sites archéologiques à documenter en prévision de la construction du barrage d’Assouan. Suite à ces recherches, William Adams établit une typologie de la poterie nubienne.
De 1959 à 1966, il dirige des fouilles à Faras, Meinarti et Kulubnarti et de 1972 à 1988, il collabore avec l'Egypt Exploration Society lors des fouilles du site de Qasr Ibrim.
Ses travaux lui valent d'être décoré de la médaille de l’Ordre des Deux Nils en 2005 par le président soudanais à Khartoum.